Site d'information et d'animation du Conseil de Quartier Gambetta à Paris 20ème

 

 

 

Histoire du quartierLes rues et leur histoirePropositions

 

De cette page, nous vous donnons des informations relative à l'identité et à la mémoire du Quartier Gambetta. Ainsi, c'est l'histoire du Quartier Gambetta et l'histoire de chacune de ses rues qui vous est comptée.

Mais vous êtes aussi la mémoire de ce quartier. N'hésitez donc pas à nous écrire pour nous raconter l'histoire de votre Quartier Gambetta, de votre rue, de votre immeuble ou de votre maison. C'est grace à vous que nous pourrons faire vivre la mémoire de ce quartier et de ses habitants.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Histoire du quartier

Une histoire du Quartier Gambetta. Votre mémoire nous aidera à la compléter.


 

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Les rues et leur histoire

Chaque rue du Quartier Gambetta a sa propre histoire. En voici quelques éléments. N'hésitez pas à nous écrire pour compléter cette histoire qui est aussi un peu la nôtre.



Un grand merci à M. Georges Langlois pour ses précieuses contributions.

 

Achile, rue (long. 46m) : elle porte le nom de son propriétaire et apparaît sur le plan cadastral de la commune de Charonne établi en 1812. Avant 1860, c'était un petit sentier appelé « Traverse de la Cour des Noues » (« Noue » signifiant un sol gras et humide cultivé en prairie pour servir de pâturage). Elle se trouve entre les rues des Rondeaux et Ramus.

Adjudant Réau (de l'), rue : depuis 1915, le sentier des Bua de la commune de Charonne porte le nom d'Albert Réau (1879-1909), adjudant-mécanicien tué dans la catastrophe du dirigeable « République » le 25 septembre 1909. Elle relie la rue du Capitaine Marchal à la rue de la Dhuis.

Alphonse Penaud, rue : elle porte le nom d'un inventeur (1850-1880) qui se suicida faute de pouvoir commercialiser l'appareil à hélice qu'il avait breveté en 1876. La rue commence aux rue du Lieutenant Chauré et du capitaine Ferber et s'achève rue Étienne Marey et du Surmelin. >>> Plus d'informations ICI

Annam (d'), rue (long. 240m) : tracée en 1812, cette voie de la commune de Belleville se nommait initialement Sentier des Partants et Chemin des Carrières. Le nom d'Annam lui a été donné en 1877 en l'honneur d'une région du Viêt-Nam, ancien protectorat français Indochinois (capitale Hué). Elle commence aux rues Villiers de l'Isle-Adam et de la Bidassoa et se termine rue du retrait. >>> Plus d'informations ICI

Bagnolet (de), rue (long. 1 400m) : cette voie apparaît dès 1672 sur le plan de Jouvin de Rochefort. Elle porte depuis 1868 le nom du village de Bagnolet auquel elle menait. Mais elle a connu d'autres nom avant cette date. Ainsi, elle se nommait rue de Paris entre le bd. de Charonnes et la place St Blaise, et rue de Bagnolet entre cette place et la porte de Bagnolet. Elle avait antérieurement porté le nom de Fontarabie entre le Bd. de Charonnes et la rue de Fontarabie. Toujours avant 1868, elle a été Route Départementale à l'époque à où la rue de Paris fut réunie à la rue de Bagnolet. La partie entre la rue des Praries et le Bd Davout était une allée qui limitait extérieurement l'ancien parc du château de Bagnolet. Au 121, il y avait la maison de secours de l'Assistance Publique ; au 150, la Fondation Tisserand, asile de vieillard et au 152, l'hospice Braille pour les aveugles. Elle conduit aujourd'hui du boulevard de Charonne au boulevard Davout.

Basilide Fossard, impasse : elle porte le nom d'un propriétaire riverain et se situe à la hauteur du 90 de l'avenue Gambetta.

Baumann, villa : l'ancien passage Beaumann (avec un « e ») porte probablement le nom d'un propriétaire. Elle relie les rues Alphonse Pénaud et Étienne Marey.

Bidassoa (de la), rue (long. 463m) : Elle s'appelait rue Latérale entre les rues Sorbier et des Partants (aujourd'hui rue Villiers l'Isle Adam) et faisait partie de la rue des Prairies entre cette rue des Partants et l'avenue Gambetta. Le voisinage de la rue des Pyrénées lui a fait donner le nom d'un petit fleuve qui, sur quelques kilomètres sert de frontière entre la France de l'Espagne. C'est dans une île formée par cette rivière, l'île des Faisans, que fut signé en 1659 le traité des Pyrénées qui mit fin aux hostilités entre la France et l'Espagne par le mariage de Louis XIV et de la fille de Philippe IV, Marie-Thérèse, infante d'Espagne. Elle va de l'avenue Gambetta et de la place Martin Nadaud à la rue Sorbier.

Boudin, passage : du nom d'un propriétaire, elle relie les rues Alphonse Pénaud et de la Justice.

Boyer, rue (long. 273m) : précédemment appelée rue du Pont de Turbigo, elle porte, depuis 1864, le nom du baron Philippe Boyer, médecin (1802-1858) et va de la rue de la Bidassoa à la rue de Ménilmontant.

Bretonneau, rue (long. 100m) : comprise dans l'ancienne commune de Charonne, elle s'appelait anciennement rue de la Source. Depuis
que l'hopital Tenon a été construit, elle porte le nom de Pierre Bretonneau (1778-1862), médecin, qui travailla sur la diphtérie, la fièvre typhoïde et, plus généralement, les maladies infectieuses. Elle relie les rues Pelleport et le Bua. >>> Plus d'informations ICI

Cambodge (du), rue (long. 173m) : ancienne voie de la commune de Charonne, elle était connue avant 1877 comme chemin de Retrait ou sentier de traverse des Gâtines, puis devint rue du Retrait. Le voisinage de la rue de la Chine lui a fait donner le nom de l'ancien protectorat français. Elle va de l'avenue Gambetta à la rue Orfila. >>> Plus d'informations ICI

Capitaine Ferber (du), rue : elle porte le nom d'un officier aviateur (1862-1909), mort à Boulogne-sur-Mer dans un accident d'aéroplane. Elle donduit des rue Pelleport et Belgrand au Boulevard Mortier. >>> Plus d'informations ICI

Capitaine Marchal (du), rue : elle porte le nom d'un officier aéronaute décédé lors de l'accident du dirigeable « République » survenu le 25 septembre 1909. Elle relie les rues Étienne Marey et Le Bua. >>> Plus d'information ICI

Cartelier, avenue : Pierre Cartelier (1757-1831), sculpteur, est notamment l'auteur de la réddition d'Ulm de l'arc du Carrousel. La rue va de l'avenue de la Porte de Bagnolet à l'avenue de la République.

Charles Renouvier, rue : Charles Renouvier (1815-1903), philosophe est le fondateur de l'Année Philosophique. La rue conduit de la rue des Rondeaux à la rue Stendhal. >>> Plus d'informations ICI

Chauré, sq. : situé aux numéros 17-21 de la rue du Lieutenant Chauré, il lui doit son nom.

Cher (du), rue : Chemin, puis rue du Ratrait (de retrait, retraite, asile, refuge, dont on a fait Retrait) en 1830, le voisinage du réservoir de Ménilmontant lui a fait donner depuis 1877 le nom d'un affluent de la Loire. Elle circule entre la rue de la Cour des Noues et la rue Belgrand. >>> Plus d'informations ICI

Chine (de la), rue : son tracé apparaît dès 1730 sur le plan de Roussel. Précédemment, en partie appelée rue de la Cour des Noues ou sentier des Hautes Gatines entre l'actuelle rue de la Cour des Noues et Villiers l'Isle Adam (anciennement rue des Partants). Selon certains, le nom de Chine, lui aurait été donné en 1800 en raison de l'endroit éloigné où cette rue était située ; une expression disait « aller en Chine » ou « jusqu'en Chine », équivalent pour « aller au bout du monde ». Pour d'autre, elle doit son nom à un bâtiment de style chinois qui se trouvait à l'angle de la rue de Ménilmontant. Au 4, l'Hopital Tenon, ancien Hopital de Ménilmontant construit en 1879. Au 10, se trouvait l'impasse de la Chine. Elle relie les rues de la Cour des Noues et Ménilmontant. >>> Plus d'informations ICI

Cordon Boussard, impasse : elle porte le nom d'un propriétaire riverain et a été crée en 1914, au niveau du 247 de la rue des Pyrénées.

Davout, boulevard (long. 1 890m): en 1859, ce bd faisait partie de la rue Militaire. Il fut élargi en 1861 et reçut sa dénomination actuelle en 1864. Le Maréchal Louis-Nicolas Davout (1770-1823), duc d'Auerstaedt, prince d'Eckmuhl, accompagna Bonaparte en Égypte, en Italie et en Russie. Le boulevard ceinture Paris depuis le cours de Vincennes jusqu'à la rue de Bagnolet et la Porte du même nom. >>> Plus d'informations ICI

Dhuis (de la), rue : cet ancien sentier rural répertorié sur le cadastre de Charonne de 1812 porte le nom d'un affluent de la Marne. La rue relie les rue de l'Adjudant Vincenot et Étienne marey à la rue du Surmelin. >>> Plus d'informations ICI

Docteur Labbé (du), rue : portant le nom d'un ancien président de l'Académie de médecine et sénateur (1832-1916), la rue - ouverte en 1926 - se trouve sur l'emplacement d'un bastion de l'enceinte de Thiers. Elle se situe entre le boulevard Mortier et la rue Le Vau.

Docteur Paquelin (du), rue : médecin, André Paquelin (1896-1905) inventa le thermocaumètre. La rue relie l'avenue Gambetta et la rue Ernest Lefèvre.

Dubourg, cité : elle fut ouverte en 1897 et M. Dubourg en fut un des propriétaires. Elle se situe entre la rue des Prairies et la rue Stendhal.

Dulaure, rue : elle porte le nom d'Antoine Dulaure (1755-1835), historien et membre de la convention. Située sur un bastion de l'enceinte de Thiers, elle relie le boulevard Mortier et la rue Le Vau.

Dupont de l'Eure, rue (long. 620m) : autrefois, rue des Hautes Gatines, nom du lieu-dit sur lequel elle fut créée. Puis elle s'appela rue Orfila (en l'honneur du docteur de ce nom et à cause du voisinage de l'hopital Tenon), puis prit son nom actuel en 1844. De son vrai nom Charles Dupont (1767-1855), cet avocat fut député de la Seine à la Restauration, participa à la révolution de 1830 et fut président du gouvernement provisoire de 1848. Il fit une opposition acharnée à la Restauration et à la Monarchie de Juillet. La rue est située entre l'avenue Gambetta et la rue Villiers de l'isle-Adam. >>> Plus d'informations ICI

Écoles (des), cité : elle tire son nom de la proximité d'une école et se situe entre les rues Orfila et Villiers de l'isle-Adam.

Edith Piaf, rue : du son vrai nom Giovanna Gassion (1915-1963), la célèbre chanteuse était une enfant du pavé de Paris. La place se situe au carrefour des rue du capitaine Ferber et Belgrand. >>> Plus d'informations ICI

Émile Landrin, rue : la rue porte le nom d'un ancien conseiller municipal de l'arrondissement. Elle débute rue des Pyrénées et rejoint la rue des Rondeaux.

Émile Landrin, place : elle se situe à la rencontre de la rue des Prairies et de la Cour des Noues.

Émile-Pierre Casel, rue : du nom d'un propriétaire riverain, la rue relie les rues de la Py et Belgrand à la rue Géo Chavez.

Ernest Lefèvre, rue(long. 168m) : avocat et journaliste, Ernest Lefèvre (1833-1889) a été président du Conseil municipal et député radical de la Seine sous Napoléon III et vice-président de la Chambre en 1885. Il fonda avec Vacquerie le journal « Le Rappel ». Il était parent de Victor Hugo dont il fut avec Paul Meurice l'un des exécuteurs testamentaires. La rue, créée en 1902, est située entre la sue du Surmelin et l'avenue Gambetta.

Étienne Marey, rue : ce médecin (1853-1904) mis au point la chronophotographie. La rue va de la rue du Capitaine Ferber à la rue du Surmelin. >>> Plus d'informations ICI

Étienne Marey, villa : située au n° 16 de la rue du même nom, elle a ainsi été dénommée en 1933.

Eugénie Legrand, rue : à la mémoire d'un infirmière (1898-1933), morte dans l'exercice de son métier. La rue débute rue des Rondeaux et s'achève rue Ramus.

Fougères (des), rue : en rappel des parcs de Bagnolet et des Bruyères, elle relie l'avenue de la Porte de Ménilmontant et la rue Noisy-le-Sec aux rues Guébriant et Léon Frapié.

Gambetta, avenue (long. 2 370m) : ancienne partie de l'avenue de la République, elle fut achevée en 1890. Entre la rue de la Bidassoa et la place Gambetta, elle s'appelait rue Sorbier et de la place Gambetta au bd. Mortier elle s'appelait rue de la Dhuis. Elle porte aujourd'hui le nom du ministre de l'Intérieur et de la Guerre dans le gouvernement de 1870, fondateur de La République Française, président de la Chambre en 1879 et député du 20ème arrondissement. L'avenue commence place Auguste Métivier et se termine boulevard Mortier et rue de Belleville. >>> Plus d'informations ICI

Gambetta, place : ouverte en 1862, elle prend son nom actuel en 1894. Elle relie l'avenue Gambetta, l'avenue du Père Lachaise, la rue des Pyrénées et la rue Belgrand.

Gâtines (des), rue : anciennement rue des Basses Gâtines (le terme signifie en vieux français « lieu désert » ou « terrain en friche »). Elle relie les n° 75 et 91 de l'avenue Gambetta.

Géo Chavez, rue : aviateur (1887-1910), il décède pendant une traversée des Alpes. la rue relie le boulevard Mortier et la place Octave Chanutte. >>> Plus d'informations ICI

Groupe Manouchian (du), rue : en hommage au groupe de résistants rendus célèbres par l'« affiche rouge », fusillés par les Allemands en 1944. La part de l'avenue Gambetta et rejoint la rue du Surmelin. >>> Plus d'informations ICI

Guébriant, rue : le compte de Guébriant - Jean-Baptiste Budes de son nom - (1602-1643), fut maréchal de France. la rue relie le boulevard Mortier et la rue des Fougères.

Haxo, rue (long. 1 058m) : créée en 1834 sur l'ancien emplacement sur le tracé d'une allée de l'ancien parc du château de Ménilmontant, à proximité de la route militaire de l'enceinte de Thiers, cette rue a englobé la rue de Vincennes et la rue de Pantin. En 1865, elle est devenue rue Haxo, du nom du Baron François Nicolas Benoit Haxo (1774-1838), général de division, spécialiste de la guerre de siège, qui fut l'auteur de travaux de fortifications (ce qui lui valut le surnom de « Vauban du XIXè siècle ») et le vainqueur du siège d'Anvers (1932). C'est dans cette rue située derrière le cimetière de Belleville que le 26 Mai 1871, les fédérés de la Commune fusillèrent les 63 otages, gendarmes, gardes municipaux et prêtres, qu'ils avaient fait prisonniers pendant la semaine sanglante. Au 83, a existé la Villa des Otages. La rue débute rue du Surmelin et rejoint le boulevard Mortier dans sa partie située dans le 19è arrondissement. >>> Plus d'informations ICI

Henri Duvernois, rue : de son vrai nom Simon Schabacher (1875-1937), il fut romancier et auteur de pièces de théâtre. La rue, crée en 1956, relie les rues Louis Lumière et Serpollet.

Ibsen, rue : elle honore la mémoire du plus grand dramaturge norvégien (1828-1906). Elle part des rues Le Vau et Cartellier et rejoint l'évenue Gambetta. >>> Plus d'informations ICI

Irénée Blanc, rue : du nom du président de la société coopérative « La Campagne à Paris » à qui l'on doit la cité dans laquelle elle se trouve et relie les rues Jules Siegfried et Pierre Mouillard à la rue Paul Strauss.

Japon (du), rue (long. 115m) : ouverte en 1867, elle doit son nom - acquis à la fin du 19è siècle - à sa proximité d'avec la rue de la Chine. Rejoint la rue Belgrand depuis l'avenue Gambetta. >>> Plus d'informations ICI

Jean Veber, rue : crée en 1928 sur un bastion de l'enceinte de Thiers, elle porte le nom d'un peintre (1864-1929). Va de la rue Louis Lumière au boulevard Davout.

Joseph Python, rue : à la mémoire de l'avocat résistant (1883-1944) fusillé par les Allemands. Relie la rue Louis Lumière et l'avenue de la Porte de Bagnolet à la rue Henri Duvernois.

Juillet, rue (long. 156m) : du nom de son propriétaire (et non du mois de l'année), une partie de cette rue a été supprimée en 1876 pour le prolongement de la rue Sorbier. Relie les numéros 44 et 54 de la rue de la Bidassoa. >>> Plus d'informations ICI

Jules Dumien, rue : du nom d'un propriétaire riverain. Ouverte en 1926 entre la rue Pelleport et la rue henri Poincaré.

Jules Siegfried, rue : la rue porte le nom d'un homme politique (1837-1922) qui fut député, ministre et sénateur. Elle relie les numéros 1 et 29 de la rue Irénée Blanc. >>> Plus d'informations ICI

Justice (de la), rue (long. 242m) : Sentier des Vaches dès 1812, puis Sentier de la Justice, la rue, créée en 1830, est un ancien sentier de la commune de Charonne. Elle reçut en 1877 le nom Justice qui rappelle que ce chemin aboutissait à l'ancienne Justice de Charonne. Elle va de la rue du Surmelin au boulevard Mortier. >>> Plus d'informations ICI

Laurence Savart, rue : située entre la rue Boyer et la rue du Retrait, elle porte le nom de la fille du propriétaire qui créa la voie.

Le Bua, rue (long. 211 m) : du nom d'un lieu-dit, la rue date de 1847. C'était alors le chemin de la Demi-Lune, puis route départementale n°40. Elle commence rue Pelleport et se termine rue du Surmelin.

Le Vau, rue : du nom de l'architecte, auteur notamment du château de Vaux-le-Vicomte. La rue relie l'avenue de la Porte de Ménilmontant aux avenues Ibsen et de la Porte de Bagnolet. >>> Plus d'informations ICI

Léon Frapié, rue : elle porte le nom de l'auteur de « La Maternelle » (1863-1949), deuxième prix Gancourt de l'histoire. Ouverte en 1969, elle débute des rues Guébriant et des Fougères pour finir rue des Frères Flavien et rue Évariste Gallois. >>> Plus d'informations ICI

Leuck-Mathieu, rue : reliant la rue des Prairies et la rue de la Cour des Noues, elle porte le nom de son ancien propriétaire riverain

Lieutenant Chauré (du), rue : Jean Chauré (1881-1909) a trouvé la mort dans l'accident du dirigeable « République ». La rue qui porte son nom part de la rue Etienne Marey et se termine rues du Capitaine Ferber et Alphonse Pénaud. >>> Plus d'informations ICI

Louis Ganne, rue : située sur l'emplacement d'un bastion de l'enceinte de Thiers, elle fut ouverte en 1930 et porte le nom du compositeur (1862-1923) de La Marche Lorraine (1892). Elle relie le Boulevard Davout et la rue Louis Lumière. >>> Plus d'informations ICI

Louis Lumière, entre l'avenue de la Porte de Bagnolet et les rues Eugène Reisz et Lucien Lambeau, elle porte le nom du célèbre savant (1864-1948), inventeur avec son frère du cinématographe (1895). >>> Plus d'informations ICI

Lyanes (des), rue et villa : Lyanes, lyannes ou lyantes désignent une variété de tulipes. Mais certains disent aussi que la rue tire son nom d'un ancien propriétaire. Elle relie les rues de Bagnolet et Pelleport ; la villa est situé au numéro 14.

Malte-Brun, rue : rue des Prairies en 1863, c'est en 1877 qu'elle reçu le nom de Malte-Brun, du nom du géographe danois Malte Conrad Brunn dit Malte Brun (1775-1826) qui participa à la fondation de la Société géographique de Paris (1821). Son fils Victor est l'auteur de la France Illustrée. La rue court de la rue Emile Landrin à l'avenue Gambetta. >>> Plus d'informations ICI et ICI

Martin Garat, rue : du nom du premier directeur général de la banque de France (1748-1830), la rue relie la rue de la Py et la rue Géo Chavez.

Maurice Berteaux, rue : située sur l'emplacement d'un ancien bastion de l'enceinte de Thiers, la rue fut ouverte en 1928 pour relier le boulevard Mortier et la rue Le Vau. Elle porte le nom de l'homme politique (1852-1911). >>> Plus d'informations ICI

Ménilmontant (de), rue : l'ancien chemin du Mesnil mau temps (maison au mauvais temps) était la rue principale du village de Ménilmontant annexé à Paris en 1860. C'est vers le 16e siècle que mau temps est devenu montant. On en trouve le tracé sur le plan de Jouvin de Rochefort de 1672. Elle relie les boulevard de Belleville et de Ménilmontant. >>> Plus d'informations ICI

Montiboeufs (des), rue : elle porte le nom d'un lieu-dit dont l'existance est attestée en 1350. Elle commence rue du Capitaine Ferber et place Octave Chanute pour se terminer rue Le Bua.

Mortier, boulevard : du nom de Joseph Mortier (1768-1835), maréchal de France (1804), Duc de Trévise (1807) et ministre de la guerre (1834-1835). Le boulevard suit le travé de l'ancienne rue Militaire. Il débute rue Belgrand et place de la Porte de Bagnolet pour se terminer avenue Gambetta et avenue de la Porte des Lilas, dans le 19e. >>> Plus d'informations ICI

Noisy-le-Sec, rue : du nom de la commune de Seine-Saint-Denis vers laquelle elle conduit en partant de la rue des Fougères. >>> Plus d'informations ICI

Octave Chanute, place : située à l'intersection des rues du Capitaine Ferber, Etienne Marey, Paul Strauss et Géo Chavez, elle porte le nom d'un ingénieur (1832-1910)qui conçut plusieurs modèles de planeurs et travailla avec les frères Wright. >>> Plus d'informations ICI

Orfila, rue : située à proximité de l'hôpital Tenon, elle honore la mémoire de Mathieu Bonaventure Orfila (1787-1853), médecin et chimiste dont les travaux portère surtout aux problèmes de toxicologie et qui fonda le musée Dupuytren. La rue débute place Martin Nadeau et se termine avenue Gambetta. >>> Plus d'informations ICI

Paul Signac, place : créée en 1954 à l'intersection de la rue Pelleport et de l'avenue Gambetta en hommage au peintre du même nom (1863-1935), auteur, avec Surat, de la thorie néo-impressioniste. >>> Plus d'informations ICI

Paul Strauss, rue : ouverte au début du siècle, la rue porte le nom du journaliste et homme politique (1852-1910), sénateur de la Seine et vice-président de l'association des journalistes républicains. Elle conduit la place Octave Chanute et de la rue Géo Chavez aux rues Pierre Mouillard et Jules Siegfried. >>> Plus d'informations ICI

Pelleport, rue : reliant les rues de Bagnolet et de Belleville, la rue apparît sur le plan de Roussel en 1730, époque où elle longeait à l'extérieur les murs du parc de Ménimontant. Située à proximité de la route militaire, elle porte le nom du vicomte Pierre de Pelleport (1773-1855), général de division. >>> Plus d'informations ICI

Père Lachaise, avenue : de la rue des Rondeau à la Place Gambetta, elle conduit à l'une des entrées du cimetière qui porte le nom du jésuite François d'Aix de La Chaise (1624-1709), confesseur de Louis XIV. >>> Plus d'informations ICI et ICI

Perreur, passage et villa : situé entre les rues du Capitaine Marchal et de la Dhuis, le passage et la villa - située au n°22 de la rue de la Dhuis - portent le nom d'un propriétaire.

Pierre Foncin, rue (long. 110m) : ouverte en 1934 sur l'emplacement d'un ancien bastion de l'enceinte de Thiers, la rue relie le boulevard Mortier et la rue des Fougères et porte le nom du professeur et géographe (1841-1916), créateur de l'Alliance française. >>> Plus d'informations ICI

Pierre Mouillard, rue (long 75m) : auteur d'un Essai d'ornithologie appliquée à l'aviation, l'ingénieur et constructeur de planeurs Pierre Mouillard (1834-1897) a longuement étudiié le vol des oiseaux et a été l'in des premiers l'intérêt des ailes rigides. La rue qui porte son nom relie le boulevard Mortier et la rue du Capitaine Ferber.

Pierre Quillard, rue (long 60m) : ouverte en 1929 sur l'emplacement d'un ancien bastion de l'enceinte de Thiers, la rue porte le nom du poète et critique (1864-1912) qui fut professeur à l'école arménienne de Constantinople et prit position en faveur de l'Arménie contre la Turquie. La rue relie les rues Victor Déjeante et Delaure. >>> Plus d'informations ICI

 

 

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Vol au dessus du Quartier Gambetta

La requalification de la place Octave Chanute - menée en étroite concertation avec les habitants riverains - permet d'honorer la mémoire de cet Ingénieur (1832-1910) qui a conçu différents modèles de planeurs et travaillé avec les frères Wright qui ont mis au point puis fait voler le tout premier aéroplane il y a un siècle, en 1903.
Au regard du nombre significatif de nos rues, places, avenues ou squares, évoquant le souvenir en même temps que la notoriété aéronautique de ces pionniers et passionnés - qu'ils soient aviateurs, aéronautes ou ingénieurs - le Conseil de Quartier Gambetta a proposé à la Municipalité, la réalisation d’un « écusson culturel » afin d'honorer leur mémoire et permettre ainsi aux habitants et nombreux visiteurs (notamment de la Campagne à Paris et de la Place Edith Piaf si proches) d'être sensibilisés à leur oeuvre ou destin, d'ailleurs le plus souvent tragique.

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Identité et Mémoire